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Nouvelle au CISSSMO : Esprit de famille au bloc opératoire

Esprit de famille au bloc opératoire

16 mai 2024 | Équipe CISSSMO

équipe du bloc opératoire de l'Hôpital du Suroît

Le bloc opératoire, une spécialité des soins critiques

Travailler au bloc opératoire, c’est intervenir à un moment significatif dans la santé des patients. Il ne faut pas avoir froid aux yeux et aimer l’adrénaline pour travailler à ce département, parce qu’aucune journée n’est identique dans ce stimulant milieu de travail.

Nous sommes allés à la rencontre de l’équipe du bloc opératoire de l’Hôpital du Suroît et nous avons sondé ses membres pour en apprendre plus sur l’expérience de travail en soins critiques.

Quelle est l’ambiance de travail au sein du bloc opératoire?

Martin Langlois, infirmier chef d’équipe d’orthopédie, nous explique qu’« on passe tellement d’heures ensemble, collés à travailler autour d’une chirurgie, que nous créons rapidement des liens entre les différents membres de l’équipe. On apprend rapidement les noms des enfants, des partenaires de nos collègues. C’est bien de développer des liens forts comme ça, car la nature de notre emploi se base sur le travail d’équipe et la confiance que nous avons envers nos collègues. C’est pour ça que ça prend des gens qui travaillent bien ensemble. »

Sa gestionnaire, Luce Leboeuf, complète en affirmant que « le travail d’équipe caractérise notre département et une ambiance familiale règne dans l’équipe. »

Est-ce qu’on doit avoir beaucoup d’expérience pour se joindre à l’équipe du bloc opératoire?

Stéphanie Emond, infirmière clinicienne, mentionne que les recrues tout comme les infirmier.ère.s d’expérience sont les bienvenues! « Puisque le bloc opératoire est une spécialité en soi, c’est autant possible pour une personne qui sort de l’école de bien performer qu’une infirmière qui a de l’expérience dans un autre champ de pratique et qui choisit de se réorienter vers le bloc opératoire », assure-t-elle.

Par ailleurs, la formation est très importante au bloc opératoire. Toute l’équipe se mobilise pour assurer que l’ensemble des collègues soit bien formé pour toujours rendre des services de qualité. « Ça peut prendre jusqu’à 3 mois pour former une nouvelle infirmière au bloc opératoire», explique Luce.

Pouvez-vous nommer un avantage de travailler au bloc opératoire?

« La technologie change rapidement et souvent! C’est stimulant pour les équipes qui peuvent ainsi apprendre en continu à développer de nouvelles techniques, à travailler avec de nouveaux outils, etc. Chaque semaine, on organise des rencontres avec l’ensemble de l’équipe pour faire part des nouveautés qui s’en viennent », mentionne Luce.

Martin partage que la technologie n’a cessé de se développer dans les dernières années. « Il y a 20 ans, des prothèses de genou à l’Hôpital du Suroît, on en avait un seul type, rappelle-t-il. Maintenant, nous sommes rendus avec cinq sortes différentes. Les formations médicales ne cessent d’évoluer, ce qui fait évoluer notre travail. »

Il y a une place pour vous dans l’équipe

Travailler comme infirmier ou infirmière en soins critiques vous intéresse? Plusieurs postes sont actuellement disponibles à l’Hôpital du Suroît et à l’Hôpital Anna-Laberge à l’urgence, aux soins intensifs et au bloc opératoire.

Des postes à temps partiel sont disponibles : soir, nuit et rotation. Ces postes vous permettent plus de flexibilité et assurent une belle conciliation travail-vie personnelle. Différents avantages existent tels que l’autogestion des horaires, l’aménagement de temps de travail, le fait de travailler près de la maison, etc. Pour connaitre tous les avantages qui s’offrent à vous, consultez cet article.

Prenez note qu’il est possible de rehausser les postes à temps complet si vous préférez.

Sur la photo :  Amélie Gendron, Martin Langlois, Kim Taillefer, Christian Murray, Isabelle Sauvé, Luce Leboeuf, Jonathan Vaillancourt, Aurélie Daoust, Alexa Beauchamps, Stéphanie Emond.